Date
janvier 2017
Type
PublicationContexte
Anthony Masure, «L’intelligence en défaut des smart cities», Sur-Mesure, no 1, «Villes, usages et numériques», janvier 2017
Résumé
Supports d’« innovations » technologiques, les smart cities n’en sont pas pas moins porteuses d’enjeux socio-politiques: les dispositifs invisibles ou opaques des applications numériques, en déplaçant les frontières entre domaine privé et domaine public, entre libertés individuelles et contrôle social, posent en creux cette question: «quelle nouvelle forme donner à l’intelligence collective?»
Notions
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Résumé
Ce mémoire a pour volonté de démontrer que l’usage du numérique grand public a changé avec les terminaux mobiles connectés : nouveau rapport à la communication (disponibilité), façon de penser (accès instantané à l’information). Mais aussi qu’ils ont apporté de nouveaux codes d’utilisation (gestes, ergonomie), spécificités graphiques (format, utilisation du doigt). Dans un second temps il sera abordé la notion d’accessibilité numérique. L’accessibilité est connu de tous mais elle est encore peu mise en pratique en France. « On ne peut pas concevoir un objet qui desservirait », il est en effet difficile d’admettre qu’une équipe de conception ferait exprès d’entraver l’utilisation de leur appareil aux utilisateurs handicapés. Ce n’est pas une volonté de rendre inaccessible un smartphone mais plutôt un manque d’implication concernant leurs usagers. C’est pourquoi, de plus en plus, les entreprises doivent rendre leurs contenus accessibles. Mais pour qu’elles le fassent un effet d’inertie doit être lancé. Et ce doit être aux institutions de montrer l’exemple.
Médias
Date
juin 2017
Type
PublicationContexte
Anthony Masure, «Peut-on encore ne pas travailler?», Cité du Design / ESADSE, Azimuts, no47, juin 2017, p.20-35
Résumé
Tandis que le travail, en crise, est de plus en plus recherché, mince est la limite entre des emplois salariés, pour lesquels il faut en faire toujours plus, et une myriade de micro-tâches non rémunérées, qui donnent l’impression de travailler jour et nuit. Autrement dit : peut-on encore ne pas travailler ? Afin de traiter ce paradoxe, nous examinerons tout d’abord le passage du métier à des professions employées à faire croître le capital. Ensuite, après avoir vu en quoi l’époque contemporaine pourrait signer une possible « mort de l’emploi », nous analyserons en quoi le développement du « labeur numérique » (digital labor) et des objets supposément « intelligents » (smart) brouille la distinction entre le temps libre et le temps travaillé. Afin de sortir de ces impasses, nous nous demanderons si le design, en tant que travail de « qualités » inutiles, pourrait permettre d’envisager de nouveaux rapports au temps.
Notions
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Médias
Date
avril 2019
Type
PublicationContexte
Actes du colloque de Cerisy Écologie de l’attention et archéologie des médias (juin 2016)
Résumé
La notification, cette forme de communication par fragments, interruptions et redondances s’est renforcée avec l’émergence des terminaux mobiles qui permettent d’accéder et de traiter des données en temps réel. Entre le manque investi par le numérique et la (supposée) saturation d’informations conduisant, pour certains chercheurs, à une crise de l’attention, comment les notifications numériques participent-elles d’une reconfiguration sociotechnique de l’expérience du manque ? Quelles sont les spécificités de ce milieu attentionnel ?
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Date
mai 2018
Type
PublicationContexte
Article coécrit avec Guillaume Helleu dans la revue Multitudes, no 71, dossier « Dériver la finance », été 2018
Résumé
Le protocole Bitcoin (2009) s’inscrit dans le prolongement des utopies crypto-anarchistes visant à développer une monnaie numérique sécurisée et distribuée sur le réseau Internet pour échapper à la centralisation du pouvoir par les banques et les gouvernements. Récupérées en grande partie par la finance spéculative, ces technologies à chaînes de blocs (blockchain) se sont progressivement développées et dépassent désormais largement le champ monétaire (applications distribuées, contrats intelligents, jetons de valeurs, etc.). Malgré la persistance de certains freins sociaux et techniques, les protocoles blockchain pourraient-ils prendre de vitesse la logique destructrice du capitalisme financier ?
Notions
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Médias
Date
mai 2023
Type
PublicationContexte
Anthony Masure, Guillaume Helleu, « Les économies bricolées du Web3 », LSD, no 3, mai 2023, p. 72-83
Résumé
English version here. Apparus en 2017, les NFT ( Non Fungible Tokens ), à savoir des certificats numériques infalsifiables et décentralisés, ont été rendus célèbres pour leurs usages dans le monde de l&8217;art. Si ces derniers occupent aujourd&8217;hui le devant de la scène médiatique, ils ne représentent pourtant qu&8217;une brique d&8217;un mouvement technologique bien plus large, cristallisé sous le terme aux allures marketing de « […]Notions
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Date
septembre 2022
Type
PublicationContexte
Article rédigé avec Guillaume Helleu pour la revue AOC.
Résumé
Apparus en 2017, les NFT (« Non Fungible Tokens »), à savoir des certificats numériques infalsifiables et décentralisés, ont été rendus célèbres pour leurs usages dans le monde de l’art. Hautement polémiques, les NFT sont fréquemment accusés d’être spéculatifs, inutiles et polluants. Nous proposons d’y voir plus clair dans ces controverses, fondées pour une bonne part, afin de montrer que d’autres voies sont possibles. En effet, les NFT – dont les applications artistiques ne sont qu’un maillon – ne sauraient se réduire à leur portion visible et engagent des réflexions plus larges sur les systèmes de valeurs, chaînes de distribution et formes de gouvernance.
Notions
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Date
novembre 2021
Type
PublicationContexte
Article rédigé avec Guillaume Helleu pour la revue de recherche Multitudes.
Résumé
Cet article explore les enjeux des technologies blockchain dans le champ de la création (art, design, jeu vidéo, etc.) à travers le développement, depuis 2015, des « Non Fungible Tokens » (NFT) – à savoir la production d’un certificat numérique infalsifiable et décentralisé attaché à une entité numérique ou tangible. Mis en lumière depuis le début de l’année 2021 par une multitude de ventes aux sommes record et par le développement de places de marché spécifiques, les NFT soulèvent des enjeux relatifs à la valeur, à la circulation et à l’exposition des productions artistiques et culturelles.
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Date
décembre 2019
Type
PublicationContexte
Version enrichie d’un chapitre de l’essai Design et humanités numériques (2017), traduction du français par Jesse Cohn], Berlin, Interface Critique, dir. Florian Hadler, Daniel Irrgang, Alice Soiné, no 2, « Navigating the Human »
Résumé
Télécharger l’article en PDF Voir l’article [En ligne English version here. > «Là où vous voyez des choses idéales, moi je vois&8230; des choses humaines, hélas! trop humaines! […]Notions
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Date
janvier 2023
Type
Contexte
Cet ouvrage collectif a été publié suite au colloque éponyme de Cerisy en 2020. Il a été codirigé par Yves Citton, Marie Lechner et Anthony Masure.
Résumé
138 entrées pour explorer les non-dits des nouvelles technologies, intelligences artificielles et autres aspects du numérique, d’algolittérature et asservissement machinique à viralité en passant par capitalisme de plateforme, évangélisme technologique, glitch-féminisme, médiactivisme et technopolice.
Date
octobre 2022
Type
PublicationContexte
Article rédigé avec Élise Rigot pour l’ouvrage collectif Les écologies du numérique, Orléans, Esad, 2022
Résumé
Dans un monde où presque aucune activité humaine n’échappe aux programmes numériques, ces derniers prennent un caractère existentiel et engendrent un assujettissement du vivant à des logiques d’automatisation. Il en résulte un profond déséquilibre des milieux de vie (théories de l’effondrement, perte de la biodiversité, etc.) et une perte de sens de l’existence. Afin de mieux cerner le concept de programme, nous associons trois champs tendant à converger : le design, l’informatique et la biologie. Ce rapprochement permet de formuler trois perspectives écologiques non binaires – autant de scénarios qui contestent le présupposé d’un design comme plan et qui le redéfinissent comme « art de l’équilibre », « zone de trouble », et « variation d’insignifiant ».
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Date
décembre 2022
Type
PublicationContexte
Article rédigé pour la revue de recherche Multitudes, no 89, « Design is the answer, but what was the question? », dir. Francesca Cozzolino, Emanuele Quinz, Barbara Szaniecki.
Résumé
Terrain d’étude privilégié des productions industrielles, le design est pointé aujourd’hui comme un champ à reconstruire. Depuis quelques années, il se voit affublé d’une multitude de qualificatifs : « écodesign », « design social », « design éthique », « design inclusif », etc. On peut se demander si cette tendance à le renommer ne met pas en évidence une difficulté à comprendre ce qui pose problème dans le design « tout court » : le design aurait‑il perdu de sa force subversive pour être désormais parfaitement intégré aux forces productives ? Comment situer le rôle ou la tâche du design, pris entre désir et besoin, entre économie et morale ? Existe‑t‑il une responsabilité propre au design ?
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Date
avril 2017
Type
ConférenceContexte
Conférence donnée au colloque international de design RAID, « Objet(s) post-numérique(s) », École Supérieure des Sciences et Technologies du Design (Essted), université de la Manouba, Tunis
Résumé
Depuis une dizaine d’années environ, le champ des objets dits « connectés » (à Internet) a fait son chemin dans notre quotidien (domotique, wearables, etc.). Fréquemment qualifiés « d’intelligents », ces derniers se situent à l’intrication du design produit et de la programmation. Pourtant, alors que le vocabulaire de l’intelligence et de la connexion semble impliquer des valeurs d’objectivation et de partage, les objets qui sont désignés sous ce terme se caractérisent trop souvent par le fait que leur « centre de commande » est en fait une « boîte noire » où « l’individu devient seulement le spectateur des résultats du fonctionnement des machines » (Gilbert Simondon). Reliés à des « applications » numériques, les objets « connectés » ne semblent exister que parce qu’il est loisible de les fabriquer.
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Date
avril 2022
Type
ConférenceContexte
Organisation d’une journée de conférences avec Guillaume Helleu dans le cadre du salon professionnel « Time to Watches », HEAD – Genève, 3 avril 2022.
Résumé
Apparus autour de 2014 dans le champ artistique, les NFT – des certificats de propriété infalsifiables et décentralisés attachés à des fichiers numériques – se sont depuis étendus à une multitude de domaines : luxe et horlogerie, mais aussi transports, santé, immobilier, finance, etc. Grâce à des assets 3D, les NFT dans l’horlogerie permettent d’atteindre une nouvelle clientèle, celle du jeu vidéo (on compte en 2022 près de 3 milliards de joueur·euses) et demain des métavers. Mais les NFT peuvent aussi être utilisés pour fidéliser la clientèle existante, pour authentifier les objets tangibles, ou encore pour repenser les chaînes de valeurs. C’est l’ensemble de ces enjeux que le salon « Time to Watches » se propose d’explorer.
Date
avril 2016
Type
PublicationContexte
Anthony Masure, « Subjectivités computationnelles et consciences appareillées », Multitudes, no 62, avril 2016, p. 87-96
Résumé
Cet article revient sur la notion de « subjectivité computationnelle » formulée par David M. Berry visant à développer une approche critique des technologies numériques. Afin de comprendre les implications philosophiques d’un tel rapprochement entre « subjectivation » et « computation », nous reviendrons tout d’abord, via Leibniz et Hannah Arendt, sur l’émergence des sciences modernes qui visent à faire du « sujet » classique une entité calculante. Nous verrons ensuite comment les sciences « comportementales » ont influencé la conception des ordinateurs en substituant à la raison humaine des modélisations rationnelles déléguées à des machines. Pour sortir de l’impasse d’une déshumanisation annoncée dès la fin des années 1970 par des auteurs comme Ivan Illich ou Gilles Deleuze, nous envisagerons enfin la « subjectivation » comme un processus qui ne nécessite pas qu’il y ait sujet. Le concept d’« appareil », tel que le propose Pierre-Damien Huyghe à propos de la photographie et du cinéma, peut ainsi être étendu aux machines computationnelles pour penser de possibles « consciences appareillées ».
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Date
septembre 2017
Type
PublicationContexte
Anthony Masure, «Panne des imaginaires technologiques ou design pour un monde réel?», dans : actes de la journée d’étude «CinéDesign : pour une convergence disciplinaire du cinéma et du design» des 6 & 7 octobre 2016, dir. Irène Dunyach & Saul Pandelakis, université Toulouse – Jean Jaurès, laboratoire LLA-CRÉATIS, septembre 2017
Résumé
Il est couramment admis que les films de science-fiction, censés incarner l’imaginaire du futur, multipliraient les stéréotypes d’objets (espaces domestiques, véhicules, choix typographiques, etc.). Ce constat, qui reste à interroger, fait dire au chercheur Nicolas Nova qu’il existerait ainsi une « panne des imaginaires ». Alors qu’il est fréquemment demandé au design d’« innover », nous nous demanderons en quoi certaines séries récentes comme Mr. Robot ou Black Mirror permettraient de contester cette injonction. Il s’agira d’analyser en quoi les croisements entre cinéma et design peuvent recouper des critiques politiques et sociales adressées aux nouvelles technologies (Bernard Stiegler, Evgeny Morozov). Entre les extrême dystopiques (films catastrophe) et utopiques (d’un monde sauvé par la science), qu’est-ce que la science-fiction nous dit du design ? Comment le design pourrait-il à la fois renouveler les imaginaires et agir dans un monde « réel » (Victor Papanek) ?
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Médias
Résumé
Les humanités numériques, ces pratiques à la croisée de l’informatique et des sciences humaines et sociales, ne se sont que trop peu préoccupées de questions propres au design. Au-delà d’une approche utilitaire, la […]Notions
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Date
décembre 2019
Type
PublicationContexte
Article publié dans la revue Cités, Paris, Puf, no 80, dossier « L’intelligence artificielle : enjeux éthiques et politiques » dirigé par Vanessa Nurock.
Résumé
Le regain d’intérêt pour l’intelligence artificielle (IA) des années 2010 engendre des programmes « auto-apprenants », ceux des techniques du deep learning, dont les logiques de fonctionnement sont structurellement inintelligibles (principe de la « boîte noire »). Ces IA investissent progressivement les capacités d’invention et d’imagination, et tendent donc à se substituer aux tâches communément attribuées aux designers. Le risque est alors que le design ne devienne qu’une puissance de production de marchandises et de motifs automatisés. Face au formatage des expériences humaines dans ce qu’elles ont de plus singulier, quelles marges de manœuvre peut-on inventer ? Des contre-pouvoirs sont-ils encore envisageables ?
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Résumé
It’s been a few years since I wanted to apply for a French research grant from the Cnap – Centre national des arts plastiques. The funding aims to help researchers in the art and design fields to conduct free projects. The grant (between 4000-8000€) is directly awarded to the researcher, which is great as it avoids any administrative mishap.The project must be achieved within 18 months, and be summarized in a short written […]Résumé
Here is the full application (in French) I wrote late 2016 for the Cnap research grant. You can read more about the background of this project here. Résumé du projet En étudiant des pratiques de design graphique concomitantes à l’émergence de l’informatique personnelle au début des années 1980, et en les mettant en relation avec des […]Notions
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Date
juin 2016
Type
ConférenceContexte
Conférence donnée avec Saul Pandelakis au colloque scientifique « Archéologie des médias et écologies de l’attention », dir. Yves Citton, Emmanuel Guez, Martial Poirson et Gwenola Wagon, Cerisy-la-Salle. Cette conférence a été redifusée sur les sites Web de France Culture et de La Forge Numérique (MRSH de l’université de Caen – Normandie).
Résumé
Nous souhaitons examiner « le passage d’un modèle économique (de l’investissement) au modèle écologique (de la relation au milieu) ». Les programmes numériques peuvent-ils être ou devenir le lieu d’une écologie attentionnelle contribuant à une « écologie [plus large] de l’environnement artificiel » ? Comment concevoir, par le design, la place de l’attention humaine au sein des machines numériques ?
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Médias
Date
décembre 2018
Type
ConférenceContexte
Introduction à la journée d’étude « Vox Machines », université Toulouse – Jean Jaurès / ESA Pyrénées
Résumé
> Contexte de la journée d’étude > Apparu dans les objets grand public depuis une dizaine d’année, le champ des «assistants vocaux» s’est tout d’abord développé sous la forme de programmes intégrés à des systèmes d’exploitation pour smartphones (Apple Siri, Microsoft Cortana, OK Google, etc.) […]Notions
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Date
janvier 2020
Type
ConférenceContexte
Invitation dans l’émission de radio Magnétique, Lausanne, Radio Télévision Suisse (RTS)
Résumé
« Dis Siri ! OK Google… Alexa, s’il te plaît… » La rumeur s’amplifie: nous utilisons toujours davantage les assistants vocaux, qu’ils « habitent » une enceinte connectée, un smartphone ou un ordinateur. Ces interactions nous amènent à revoir notre conception de la voix ; la nôtre quand les machines semblent la comprendre et la leur quand elles nous répondent.
Notions
Date
novembre 2021
Type
ConférenceContexte
Participation au panel « Numérisation à la demande et salles de lecture virtuelles » dans le cadre du colloque Infoclio 2021 « Out of office. Travail à distance et sciences historiques ».
Résumé
Home office, smart working, télétravail, distance learning : le travail à distance a connu une croissance sans précédent durant la pandémie de Covid-19. Le colloque annuel infoclio.ch « Out of Office », qui s’est tenu à Berne le 19 novembre 2021, a analysé la massification récente du travail à distance, mis en lumière ses antécédents historiques, et interrogé ses conséquences sur les institutions patrimoniales et sur l’enseignement de l’histoire.
Date
avril 2017 — mars 2018
Type
ProjetContexte
Podcast préparé et animé avec Saul Pandelakis, diffusé sur Radio FMR Toulouse, dans le cadre de l’émission CPU Programme produite par Xavier Mouton-Dubosc aka Dascritch.
Résumé
Le podcast Killed by app analyse les enjeux socio-politiques des applications numériques. Animé avec Saul Pandelakis et réalisé par Dascritch, cette chronique à parution aléatoire est diffusée sur Radio FMR Toulouse dans le cadre de l’émission CPU Programme . Placé sous licence libre, ce podcast est envisagé comme un temps de recherche jouant des décalages de media pour préparer un essai à quatre mains traitant […]Notions
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