@AnthonyMasure

Les environnements numériques d’écriture

« L’écriture et ses environnements », vernissage de l’exposition
#Ironème #Ironèmes, dir. Étienne Candel, Le Tank, 3 mai 2018

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Contexte

Le design des programmes, des façons de faire du numérique
Thèse de doctorat en esthétique, 2014, www.softPhD.com

Revue de recherche Back Office
n^o 1, « Faire avec », 2017

Revue de recherche Back Office
n^o 2, « Penser, classer, représenter », 2018

Version Web de la revue Back Office (site responsive)

Essai Design et humanités numériques, éditions B42, 2017

Site Web complémentaire « Esthétique des données », design E+K

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Environnements d’écriture ?

Conclusion anticipée

Les technologies numériques, majoritairement prises dans une industrie commerciales des programmes, organisent un conditionnement de l’écriture.

Il est donc nécessaire de déjouer cette économie pour transformer ces « dispositifs » en « environnements » ouverts à des pratiques plurielles.

L’ordinateur

Une machine de traduction et de calcul basée sur de multiples strates de textes.

De multiples « niveaux » de langages formels informatiques
Tout « écrit d’écran » rend illisible d’autres écrits

Comparaison entre un fichier texte .txt et un fichier Word .docx

Matthew Fuller, « It Looks Like You’re Writing a Letter », 2000

« Les modèles (templates) et exemples que l’utilisateur peut éditer pour créer ses propres documents – tels que ‹ fax élégant ›, ‹ fax contemporain  ›, ‹ lettre formelle › ou ‹ mémo › – attestent que la falsification est la forme de base du document produit dans les bureaux contemporains. »

— Matthew Fuller, « It Looks Like You’re Writing a Letter », 2000

Autres formes d’« amalgames » humains-logiciels

L’anglais (et le code) comme modèle global
Circulation des textes dans une économie de l’attention
(médias sociaux, moteurs de recherche, etc.)
Les écritures non verbales et le capitalisme émotionnel
Limitation du nombre et de la typologie des caractères